Cette ann&eacute;e encore, le final du Championnat de France F4 aura lieu sur le circuit Paul Ricard au Castellet, du 4 au 6 octobre 2024, et cette 7e et derni&egrave;re &eacute;preuve promet d&rsquo;&ecirc;tre explosive ! Depuis le d&eacute;but de la saison, trois pilotes jouent au chat et &agrave; la souris, encha&icirc;nant les podiums et les victoires, chacun en comptant quatre &agrave; son tableau d&rsquo;honneur. Le Belge Yani Stevenheydens arrive en leader avec 252 points et 11 podiums. Le pilote soutenu par le RACB est aussi celui poss&eacute;dant le plus d&rsquo;exp&eacute;rience, puisqu&rsquo;il participe &agrave; sa deuxi&egrave;me saison en F4. Le Japonais Taito Kato, en provenance de la Honda Racing School de Suzuka, a repris 16 points &agrave; son rival en s&rsquo;illustrant lors de l&rsquo;&eacute;preuve pr&eacute;c&eacute;dente &agrave; Dijon et en compte d&eacute;sormais 246 avec 11 podiums &eacute;galement. Le Varois Jules Caranta jouera quasiment &agrave; domicile sur un circuit distant d&rsquo;une centaine de kilom&egrave;tres de son lieu d&rsquo;habitation. L&rsquo;espoir fran&ccedil;ais a cumul&eacute; 235 points et 9 podiums. L&rsquo;&eacute;cart n&rsquo;est pas insurmontable, 70 points restant &agrave; distribuer.
Si le successeur d&rsquo;Evan Giltaire au palmar&egrave;s du Championnat g&eacute;r&eacute; par la FFSA Academy sera forc&eacute;ment l&rsquo;un de ses trois pilotes, bien d&rsquo;autres enjeux ne manqueront pas d&rsquo;animer le SRO Racing Festival. Renouer avec la victoire repr&eacute;sentera un objectif l&eacute;gitime pour le Luxembourgeois Chester Kieffer, le Tha&iuml;landais Rayan Caretti et l&rsquo;Andorran Frank Porte Ruiz, qui se disputeront parall&egrave;lement la 4e place du Championnat avec en arbitre Augustin Bernier. Le laur&eacute;at du Volant Feed Racing a la ferme intention de terminer sa saison par un premier succ&egrave;s.
Membre de l&rsquo;ADAC Formel 4 Junior Team, l&rsquo;Allemand Montego Maassen reste sur deux &eacute;preuves r&eacute;ussies &agrave; Magny-Cours et Dijon, il sera encore &agrave; suivre de pr&egrave;s au Castellet. Les places du top-10 au classement g&eacute;n&eacute;ral s&rsquo;annoncent convoit&eacute;es. Le Fran&ccedil;ais Jules Roussel et l&rsquo;Italien Leonardo Megna sont actuellement class&eacute;s respectivement 9e et 10e, mais l&rsquo;Irlandais Alex O&rsquo;Grady, Dylan Estre, Enzo Caldaras et Jason Leung ont d&eacute;j&agrave; montr&eacute; qu&rsquo;ils &eacute;taient capables de marquer de gros points dans le peloton de t&ecirc;te.
Un nouveau pilote d&eacute;couvrira le Championnat de France F4 sur le circuit Paul Ricard, il s&rsquo;agit du Fran&ccedil;ais Aleksandr Burdo.
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<h4>Programme F4 Paul Ricard 2024</h4>
Vendredi 04 octobre : Essais libres (11:10 &ndash; 11:40) et essais qualificatifs (16:40 &ndash; 17:05)
Samedi 05 octobre&nbsp;: Course 1 (10:05 &ndash; 10:35) et Course 2 (15:45 &ndash; 16:15)
Dimanche 06 octobre : Course 3 (11:30 &ndash; 12:00)
&gt; Dur&eacute;e des courses : 20 minutes + 1 tour
&gt; Monoplace Mygale, moteur Renault turbo, pneumatiques Pirelli, carburant Repsol 100% renouvelable
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<h4>Classement du Championnat de France F4 (apr&egrave;s 6 &eacute;preuves)</h4>
1 Yani Stevenheydens (Belgique) 252 points 2 Taito Kato (Japon) 246 points 3 Jules Caranta (France) 235 points 4 Chester Kieffer (Luxembourg) 116 points 5 Rayan Caretti (Tha&iuml;lande) 109 points 6 Frank Porte Ruiz (Andorre) 99 points 7 Augustin Bernier (France) 92 points 8 Montego Maassen (Allemagne) 60 points 9 Jules Roussel (France) 58 points 10 Leonardo Megna (Italie) 48 points 11 Alex O&rsquo;Grady (Irlande) 44 points 12 Dylan Estre (France) 40 points 13 Enzo Caldaras (France) 35 points 14 Jason Leung (Canada) 33 points 15 Arthur Dorison (France) 21 points 16 Karel Schulz (France) 20 points 17 Gabriel Doyle-Parfait (Grande-Bretagne) 19 points 18 Alexandre Munoz (France) 3 points 19 Edouard Borgna (France) 1 point Mathilda Paatz (Allemagne) Rom&eacute;o Leurs (France) Tom Le Brech (France) Louis Schlesser (France) Paul Roques (France) Arjun Chheda (Inde)

Circuit

Six petits points séparent le Belge Yani Stevenheydens du Japonais Taito Kaito avant l’ultime épreuve du Championnat de France F4 au Castellet, sachant que le Français Jules Caranta conserve encore toutes ses chances avec seulement 17 points de retard.

F4 Academy : Trois pilotes pour 1 titre

Avec six s&eacute;ries diff&eacute;rentes et un total de 17 courses, cet ultime rendez-vous servira de feu d&rsquo;artifice final pour cette saison 2024.
Apr&egrave;s Nogaro, L&eacute;denon, Spa-Francorchamps, Magny-Cours et Dijon-Prenois, le Championnat de France FFSA Circuit s&rsquo;appr&ecirc;te &agrave; vivre son &eacute;pilogue dans le Var ce week-end. Traditionnellement, au tout d&eacute;but de l&rsquo;automne, c&rsquo;est sur le Circuit Paul Ricard que se jouent les titres de Champions de France lors du SRO Racing Festival. Avec 33.000 spectateurs ayant &eacute;t&eacute; recens&eacute;s l&rsquo;an dernier, cet &eacute;v&eacute;nement s&rsquo;av&egrave;re toujours plus populaire et est devenu un grand classique du calendrier.
La recette est connue : un circuit qui est l&rsquo;un des joyaux du sport automobile fran&ccedil;ais depuis plus de 50 ans, un paddock ouvert au public, des espaces pour les Supercars et un programme d&rsquo;action en piste aussi intense que vari&eacute;.&nbsp;
Pas moins de 17 d&eacute;parts seront donn&eacute;s entre samedi 10h et dimanche 17h30 et il y en aura pour tous les go&ucirc;ts. On retrouve en effet &agrave; l&rsquo;affiche le Championnat de France FFSA GT, mais aussi le Championnat de France FFSA F4, le Championnat de France FFSA Tourisme, le Troph&eacute;e Mitjet France, l&rsquo;Alpine Cup Series et la Clio Cup Series. Le tout pour un tarif hyper d&eacute;mocratique fix&eacute; &agrave; 15 euros pour deux jours et 10 euros pour un jour seulement. Alors, on se retrouve sur le Circuit Paul Ricard ?
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<h4>Championnat de France FFSA GT : encore deux titres &agrave; attribuer</h4>
Trois titres Pilotes et trois titres &Eacute;quipes sont mis en jeu en Championnat de France FFSA GT et le suspense reste entier pour cinq d&rsquo;entre eux, seule la Silver Cup ayant r&eacute;v&eacute;l&eacute; ses champions chez les Pilotes.&nbsp;
Leaders de la classe Pro-Am depuis la toute premi&egrave;re course de la saison &agrave; Nogaro, Ga&euml;l Castelli et Rodolphe Wallgren (Audi R8 LMS GT4 &ndash; CSA Racing) ont vu les champions 2023 &Eacute;ric Tr&eacute;moulet-Olivier Jouffret (Mercedes-AMG GT4 &ndash; Vic&rsquo;Team) revenir &agrave; 29 points gr&acirc;ce &agrave; deux succ&egrave;s &agrave; Dijon-Prenois. Avec un total de 52 unit&eacute;s encore en jeu, rien n&rsquo;est fait ! Troisi&egrave;mes, Noam Abramczyk et Thomas Laurent (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport &ndash; AV Racing) ont 49 points de retard et ils voudront surtout se battre pour une place sur le podium final avec les duos Pascal Huteau-Gaspard Simon et Gr&eacute;gory Guilvert-Laurent Hurgon, tous deux engag&eacute;s sur les Alpine A110 GT4 EVO de la structure Schumacher CLRT.
En Am Cup, Matteo Salomone et Rudy Servol (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport &ndash; AV Racing) sont &eacute;galement en t&ecirc;te depuis le premier rendez-vous. Ils ont toutefois vu revenir dans leur dos St&eacute;phane Auriacombe et St&eacute;phane L&eacute;meret (Alpine A110 GT4 EVO &ndash; CMR). Avant le dernier rendez-vous, 25 points s&eacute;parent ces duos. Gr&acirc;ce &agrave; un premier succ&egrave;s &agrave; Dijon faisant tomber leur retard &agrave; 34 points, Gr&eacute;gory Curson Faessel et Florian Teillais (BMW M4 GT4 &ndash; VSF Sports Amplitude automobiles) conservent aussi leurs chances.&nbsp;
La Silver Cup est donc la seule des trois classes pour laquelle le titre Pilotes est d&eacute;j&agrave; attribu&eacute;, Victor Weyrich et Matteo Villagomez (Aston Martin Vantage AMR GT4 EVO) ayant scell&eacute; le championnat &agrave; Dijon. M&ecirc;me si ce n&rsquo;est pas jou&eacute; math&eacute;matiquement, il suffira d&rsquo;une arriv&eacute;e de son duo pour que Racing Spirit of L&eacute;man les imite chez les &Eacute;quipes. Le suspense viendra de la lutte pour la deuxi&egrave;me place. Ayant chang&eacute; d&rsquo;&eacute;quipier en cours de saison, Mateo Herrero (qui roule avec Tom Verdier) est le seul des deux pilotes de l&rsquo;Alpine A110 GT4 EVO de Chazel Technologie Course encore en lice pour le titre honorifique de vice-champion. Il compte un point de plus que Viny Beltramelli et Florian Brich&eacute; (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport &ndash; JSB Comp&eacute;tition) et neuf points de plus que Hugo Bac et Hugo Mogica (Ginetta G56 GT4 EVO &ndash; CMR), en pleine remont&eacute;e apr&egrave;s avoir remport&eacute; trois victoires en quatre courses.&nbsp;
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<h4>Championnat de France FFSA F4 : trio en folie</h4>
Quelle saison pour le Championnat de France FFSA F4 ! Avant m&ecirc;me la finale, on sait d&eacute;j&agrave; que cette cuv&eacute;e 2024 restera assur&eacute;ment comme l&rsquo;une des plus disput&eacute;es de l&rsquo;histoire du championnat g&eacute;r&eacute; par la FFSA Academy.
Au moment d&rsquo;arriver sur le Circuit Paul Ricard, trois pilotes visent encore un titre qui pourrait changer leur carri&egrave;re &agrave; jamais : le Belge Yani Stevenheydens, le Japonais Taito Kato et le Fran&ccedil;ais Jules Caranta.
Sur l&rsquo;ensemble d&rsquo;un week-end, il est possible de marquer jusqu&rsquo;&agrave; 70 points. Or, les trois hommes sont group&eacute;s en 17 points, ce qui signifie qu&rsquo;ils sont tous ma&icirc;tres de leur destin. Face &agrave; des adversaires bien d&eacute;cid&eacute;s &agrave; terminer la saison en beaut&eacute;, les trois rivaux auront trois courses de 20 minutes + 1 tour pour se d&eacute;partager avec des d&eacute;parts samedi &agrave; 10h10 et &agrave; 15h50 puis dimanche &agrave; 11h35. Qui succ&eacute;dera &agrave; Evan Giltaire dans le palmar&egrave;s ? R&eacute;ponse dimanche sur le coup de midi !&nbsp;
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<h4>Championnat de France FFSA Tourisme : plus de 50 voitures pour une finale &agrave; suspense</h4>
Sur le magnifique Circuit Paul Ricard, le Championnat de France FFSA Tourisme s&rsquo;appr&ecirc;te &agrave; conclure sa quatri&egrave;me saison par un feu d&rsquo;artifice. Plus de 55 voitures sont attendues dans le Var, r&eacute;parties dans les six classes, pour disputer quatre courses de 25 minutes. Du sprint &agrave; l&rsquo;&eacute;tat pur, une comp&eacute;tition multimarque, des luttes intenses&hellip; Participants et spectateurs vont se r&eacute;galer lors de cet ultime rendez-vous de la saison avec deux d&eacute;parts samedi (13h25 et 17h30) et deux dimanche (9h15 et 14h05).
Tout au long de la saison, la cat&eacute;gorie TCR a propos&eacute; une lutte de tous les instants. Au moment d&rsquo;arriver sur le Circuit Paul Ricard, le vice-champion 2023 Julien Paget (Cupra L&eacute;on Comp&eacute;ticion TCR &ndash; Optimum Racing-ASM) semble en position id&eacute;ale pour aller coiffer cette couronne qui lui avait &eacute;chapp&eacute; l&rsquo;an dernier. Avec 13,5 points de retard, Sylvain Pussier (Cupra L&eacute;on VZ TCR &ndash; SP Comp&eacute;tition) reste toutefois ma&icirc;tre de son destin : s&rsquo;il gagne les quatre courses, le repr&eacute;sentant de l&rsquo;Ain sera champion, quels que soient les r&eacute;sultats de son rival. Dans cette course pour le titre, il ne faut pas exclure S&eacute;bastien Thome (Audi RS 3 LMS TCR &ndash; Team Clairet Sport). Son absence lors du meeting d&rsquo;ouverture &agrave; Nogaro p&egrave;se toujours dans la balance, mais il est celui qui a marqu&eacute; le plus de points sur les quatre derniers meetings. Avec un peu de r&eacute;ussite (ou de malchance de ses adversaires&hellip;), il pourrait cr&eacute;er la surprise dimanche soir !&nbsp;
Il n&rsquo;y a plus de suspense dans la classe TC : Viny Beltramelli (Peugeot 308 RC &ndash; Team Pilote 69 by 2RT) s&rsquo;est d&eacute;j&agrave; adjug&eacute; le titre &agrave; Dijon-Prenois. C&rsquo;est donc lui qui recevra la bourse de 50.000 euros offerte par SRO Motorsports Group et ses partenaires pour disputer la saison 2025 du Championnat de France FFSA GT. Gr&acirc;ce &agrave; sa confortable avance, le jeune Rapha&euml;l Fournier (Peugeot 308 RC &ndash; JSB Comp&eacute;tition), pass&eacute; de la classe TCA Light &agrave; la classe TC cette ann&eacute;e, devrait aller chercher une m&eacute;daille d&rsquo;argent que Brady Beltramelli (Peugeot 308 RC &ndash; Team Pilote 69 by 2RT) et Kevin Ropars (Peugeot 208 R &ndash; 2RT) peuvent encore revendiquer sur le plan purement math&eacute;matique.
Avec 46 points d&rsquo;avance et un maximum de 50 encore &agrave; attribuer, Ethan Gialdini est &eacute;videmment le grand favori au titre dans la GT Academy. Sauf catastrophe, le jeune Al&eacute;sien de 17 ans sera le premier laur&eacute;at de cette nouvelle comp&eacute;tition voyant s&rsquo;affronter toutes des Ginetta G56 GTA identiques. S&rsquo;il termine une des deux courses auxquelles il prendra part, le fer de lance de la structure Styl&amp;Grip sera champion d&egrave;s sa premi&egrave;re saison en sport automobile. Derri&egrave;re lui, Thibaut Mogica (Tierce Racing) et les jeunes Alexandre Monnot (Tierce Racing) et Mehdi Bouarfa (Styl&amp;Grip) tenteront de finir la saison en force. Notons aussi la pr&eacute;sence sur cette finale de l&rsquo;exp&eacute;riment&eacute; Valentin Simonet, vice-champion de la Am Cup dans le Championnat de France FFSA GT 2019.
Avec 13 points de diff&eacute;rence entre les deux leaders, le suspense est entier pour l&rsquo;attribution du titre de Champion de France FFSA dans la classe GT Light. Apr&egrave;s son absence lors des Coupes de P&acirc;ques de Nogaro, Nicco Ferrarin (Ligier JS2 R &ndash; AGS Events) a entam&eacute; une folle remont&eacute;e qu&rsquo;il r&ecirc;ve de conclure avec une couronne nationale. S&rsquo;il s&rsquo;impose lors des quatre courses sur le Circuit Paul Ricard, il sera champion&hellip; De son c&ocirc;t&eacute;, le leader, David Chiche (Ligier JS2 R &ndash; Team CDRS) a fait mieux que limiter les d&eacute;g&acirc;ts face &agrave; son redoutable adversaire. Mais il le sait, pour coiffer la couronne, il ne pourra pas se contenter d&rsquo;une position d&rsquo;attente.&nbsp;
Sauf catastrophe, Frank Labescat (Peugeot RCZ RC &ndash; Team CDRS) sera titr&eacute; dans la classe TCA d&egrave;s samedi, son avance de 42 points &eacute;tant particuli&egrave;rement confortable. La remarque est la m&ecirc;me pour Quentin Prudent (Mini R56 MCS-R &ndash; ADWShop Motorsport) dans la Coupe TCA-2, qui voit s&rsquo;affronter des voitures un peu moins performantes. On devrait voir quatre Mini align&eacute;es par ADWShop Motorsport, dont celle du patron-pilote Micka&euml;l Boisdur. Face &agrave; elles, deux Clio Cup IV du Team Leal Comp&eacute;tition seront de partie avec notamment les Henry p&egrave;re et fils (Christophe et Lubin) derri&egrave;re le volant.
Comme souvent, la classe TCA Light qui regroupe les Peugeot 208 RC sera tr&egrave;s bien fournie pour cette finale sur le Circuit Paul Ricard. Une quinzaine de voitures devraient se disputer les quatre victoires mises en jeu&hellip; mais plus le titre, qui est d&eacute;j&agrave; scell&eacute; depuis Dijon-Prenois. Ayant domin&eacute; la saison avec 14 victoires en 20 courses, Colin Boreau (Boreau Team Sport by JSB) est logiquement champion. Malgr&eacute; son jeune &acirc;ge (16 ans), Karel Eyoum (JFM Racing) est d&eacute;j&agrave; assur&eacute; de s&rsquo;emparer de la m&eacute;daille d&rsquo;argent. Toutefois, les derni&egrave;res victoires seront &agrave; coup s&ucirc;r tr&egrave;s disput&eacute;es.&nbsp;
Outre ces trois Championnats de France, le Troph&eacute;e Mitjet France, l&rsquo;Alpine Cup Series et la Clio Cup Series assureront &eacute;galement leur part de spectacle lors de ce SRO Racing Festival. Vous l&rsquo;avez compris, voici un rendez-vous &agrave; ne pas manquer !&nbsp;
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Ultime rendez-vous du Championnat de France FFSA Circuit, le SRO Racing Festival proposera ce week-end sur le Circuit Paul Ricard ce qui se fait de mieux dans le paysage du sport automobile en bleu-blanc-rouge.

Un festival en bleu-blanc-rouge pour conclure la saison en beauté

<h4>Les faits marquants</h4>
- Sandro a flirt&eacute; avec la pole position et a sereinement conquis la 2e place en course. - Avec une belle moisson de points, il gagne une place au championnat (4e) et revient &agrave; 19 unit&eacute;s de la 3e. - Enzo Peugeot a sign&eacute; deux arriv&eacute;es solides dans les points. -&nbsp; Th&eacute;ophile Na&euml;l &eacute;tait en passe d&rsquo;imiter son &eacute;quipier avant une disqualification.
L&rsquo;avant-derni&egrave;re manche du Championnat d&rsquo;Europe de Formule R&eacute;gionale par Alpine (Freca) s&rsquo;est tenue &agrave; Barcelone sous un soleil estival. Tous les pilotes connaissant par c&oelig;ur le Circuit de Catalunya, le diable se cachait dans les d&eacute;tails et la moindre imperfection se payait lourdement dans la hi&eacute;rarchie.
Avec un podium, une premi&egrave;re ligne et 7 arriv&eacute;es sur 8 dans le top 10 sous le drapeau &agrave; damier, Sandro, Th&eacute;o, Enzo et Evan ont globalement brill&eacute; en Espagne.
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<h4>Tout se joue aux d&eacute;parts</h4>
Dans un championnat aussi complexe et riche de talents, il est des rendez-vous qu&rsquo;il ne faut pas manquer sur un circuit de Catalunya o&ugrave; les processions ne sont pas rares en course : les qualifications et le d&eacute;part.
Apr&egrave;s des essais libres tr&egrave;s prometteurs, les quatre pilotes de l&rsquo;&Eacute;quipe de France FFSA Circuit et leurs &eacute;quipes ont pos&eacute; un lapin aux qualifications Q1 en laissant filer les centi&egrave;mes de seconde dans les multiples d&eacute;tails de la Freca. Set-up, pression et exploitation des pneus, agressivit&eacute;, gestion de la temp&eacute;rature de la piste qui a jou&eacute; au yoyo entre les qualifications et les courses.
L&rsquo;exp&eacute;riment&eacute; Sandro a le mieux tir&eacute; son &eacute;pingle du jeu (8e) en emmenant les deux pilotes Saint&eacute;loc dans son sillage (Th&eacute;o 11e, Enzo 13e) alors qu&rsquo;Evan a pris la 22e place.
Dans la premi&egrave;re course, le rendez-vous des d&eacute;parts a en revanche &eacute;t&eacute; honor&eacute; par les duellistes tricolores. Sandro a &eacute;vit&eacute; le pire en d&eacute;cochant une s&eacute;rie de r&eacute;flexes miracles pour &eacute;viter non pas un mais deux pilotes qui ont pein&eacute; &agrave; d&eacute;coller &agrave; l&rsquo;extinction des feux. Se faisant, il a d&ucirc; lever le pied pour &eacute;viter Th&eacute;o qui le d&eacute;bordait logiquement. Apr&egrave;s une neutralisation cons&eacute;cutive &agrave; un incident au premier virage qui co&ucirc;tait deux positions &agrave; Sandro, Th&eacute;o &eacute;mergeait en 6e position, Enzo en 8e, Sandro en 9e et Evan avait gagn&eacute; 7 places.
Au re-start, Enzo r&eacute;pondait pr&eacute;sent, d&eacute;bordait Ugochukwu qui &eacute;tait victime de sa d&eacute;fense rugueuse et abandonnait, permettant aux trois Fran&ccedil;ais du top 10 de rouler de concert aux 6e, 7e et 8e place. Puis la procession anticip&eacute;e en Catalogne a fig&eacute; les positions jusqu&rsquo;&agrave; l&rsquo;arriv&eacute;e.
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<h4>Proches de l&rsquo;exploit</h4>
Les d&eacute;tails de la Q1 int&eacute;gr&eacute;s par ART Grand Prix et leurs pilotes, Sandro, revanchard et d&eacute;termin&eacute;, a coch&eacute; toutes les cases du rendez-vous de la Q2, &agrave; quelques milli&egrave;mes de sa premi&egrave;re pole position. Evan a poursuivi sa progression &ndash; le champion en titre de F4 France a divis&eacute; par trois la seconde de retard qu&rsquo;il accusait sur la pole position de la Q1 &ndash; mais avec des &eacute;carts fortement resserr&eacute;s, il a pris le d&eacute;part depuis la 14e place, juste derri&egrave;re Th&eacute;o qui, pour 90 milli&egrave;mes de seconde a vu la 3e ligne de la grille lui &eacute;chapper. Son &eacute;quipier Enzo s&rsquo;est positionn&eacute; dans le top 10 (7e) pour la 9e fois de l&rsquo;ann&eacute;e.
Un accrochage au premier virage de la seconde course a b&eacute;n&eacute;fici&eacute; &agrave; Evan et Th&eacute;o, respectivement 10e et 11e, deux longueurs derri&egrave;re Enzo p&eacute;nalis&eacute; par un passage dans l&rsquo;herbe pour tenter de d&eacute;border un adversaire plus lent que lui. Au re-start, Enzo a retrouv&eacute; sa 7e place initiale et ne l&rsquo;a plus l&acirc;ch&eacute;e tandis que Th&eacute;o et Evan ont entam&eacute; un duel de longue haleine qui a vu les deux hommes &eacute;changer plusieurs fois leurs positions pour franchir l&rsquo;arriv&eacute;e aux 8e et 10e places. Aux avant-postes, une course propre et ma&icirc;tris&eacute;e &agrave; conduit Sandro sur son 6e podium de l&rsquo;ann&eacute;e et son 4e cons&eacute;cutif, sans qu&rsquo;il n&rsquo;ait jamais pu rester au contact du leader.
Avec ses quatre repr&eacute;sentants dans le top 10, l&rsquo;&Eacute;quipe de France FFSA Circuit est pass&eacute;e proche de l&rsquo;exploit, jusqu&rsquo;&agrave; ce que Th&eacute;o et Evan soient disqualifi&eacute;s dans la soir&eacute;e, pour avoir actionn&eacute; leur push-to-pass trop t&ocirc;t apr&egrave;s une neutralisation&hellip;
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<h4>Le d&eacute;brief des pilotes</h4>
Sandro Giusti : &laquo; Entre la Q1 et la Q2, on a chang&eacute; le set-up et c&rsquo;&eacute;tait le jour et la nuit. Dimanche, la pole position nous passe sous le nez pour tr&egrave;s peu. Dans la premi&egrave;re course, apr&egrave;s la chaleur du d&eacute;part, je suis rest&eacute; trop proche d&rsquo;Enzo et &ccedil;a a tu&eacute; mes pneus qui avaient du mal sur la fin. Dans la deuxi&egrave;me course, j&rsquo;ai rapidement compris qu&rsquo;il n&rsquo;y avait rien &agrave; faire contre Wharton qui &eacute;tait sur une autre plan&egrave;te &agrave; Barcelone. J&rsquo;esp&egrave;re qu&rsquo;&agrave; Monza on partira tout de suite du bon pied et qu&rsquo;on pourra viser pole position et victoire pour bien finir l&rsquo;ann&eacute;e &raquo;.
Th&eacute;ophile Na&euml;l : &laquo; Il y a eu des hauts et des bas. La performance pure &eacute;tait bonne du c&ocirc;t&eacute; de l&rsquo;&eacute;quipe comme du mien. Un mauvais choix en Q1 nous a emp&ecirc;ch&eacute; de nous battre pour les premi&egrave;res places et en Q2 il n&rsquo;y a que 45 milli&egrave;mes entre Enzo et moi, mais qui valent 6 places sur la grille ! En course, le rythme &eacute;tait solide et constant par rapport &agrave; nos adversaires. Malheureusement, une erreur de push-to-pass a priv&eacute; l&rsquo;&eacute;quipe des points que j&rsquo;&eacute;tais all&eacute; chercher en piste &raquo;.
Enzo Peugeot : &laquo; Globalement c&rsquo;est tr&egrave;s positif avec une progression collective, deux belles arriv&eacute;es dans les points apr&egrave;s avoir remport&eacute; quelques bagarres en piste. &Ccedil;a se joue &agrave; trois fois rien et il nous faut trouver un ou deux dixi&egrave;mes en qualifications pour avoir une chance de monter sur le podium. En Q1 les pneus surchauffaient, sans quoi le top 3 de mon groupe &eacute;tait jouable. En Q2, on s&rsquo;est bien adapt&eacute; mais le compromis n&rsquo;&eacute;tait pas id&eacute;al et m&rsquo;a fait perdre du temps dans le premier secteur &raquo;.
Evan Giltaire : &laquo; Entre le d&eacute;but et la fin du week-end, on a fait un gros pas en avant avec l&rsquo;&eacute;quipe. En Q1 on &eacute;tait un peu perdu, et en Q2 il m&rsquo;a manqu&eacute; un peu d&rsquo;exp&eacute;rience pour tout bien g&eacute;rer et exploiter. Sandro a montr&eacute; qu&rsquo;on pouvait jouer aux avant-postes. Au final une erreur qui para&icirc;t insignifiante co&ucirc;tait tr&egrave;s cher avec des &eacute;carts incroyablement faibles. En course, le rythme &eacute;tait plut&ocirc;t bon et le point de la 10e place aurait &eacute;t&eacute; une belle r&eacute;compense. Mais c&rsquo;est la r&egrave;gle, elle est dure mais c&rsquo;est la m&ecirc;me pour tous et j&rsquo;accepte cette disqualification &raquo;.
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<h4>R&eacute;sultats et classements</h4>
Alessandro Giusti
Course 1 Position sur la grille : 10e R&eacute;sultat : 8e&nbsp;&nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 2e R&eacute;sultat : 2e&nbsp; &nbsp; &nbsp;
Championnat 4e, 177 points
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Th&eacute;ophile Na&euml;l
Course 1 Position sur la grille : 11e R&eacute;sultat : 6e&nbsp; &nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 13e R&eacute;sultat : 11e&nbsp; &nbsp; &nbsp;
Championnat 11e, 57 points
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Enzo Peugeot
Course 1 Position sur la grille : 13e R&eacute;sultat : 7e&nbsp; &nbsp;&nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 7e R&eacute;sultat : 7e&nbsp; &nbsp; &nbsp;
Championnat 15e, 38 points
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Evan Giltaire
Course 1 Position sur la grille : 22e R&eacute;sultat : 15e&nbsp; &nbsp;
Course 2 Position sur la grille : 14e R&eacute;sultat : 17e
Championnat 8e, 87 points
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Prochaines courses : 25-27 octobre &agrave; Monza (Italie).

À Barcelone, Sandro est parti de la 1ère ligne pour monter sur la 2e marche du podium de la pénultième manche du Championnat d’Europe de Formule Régionale par Alpine.

Giusti enchaîne avec son 6e podium en Espagne

Les faits marquants :
Victor Martins a &eacute;chou&eacute; &agrave; 20 milli&egrave;mes du podium du sprint et a men&eacute; la seconde course avant de r&eacute;trograder lors de son pit stop.
Parti dernier apr&egrave;s un probl&egrave;me m&eacute;canique, Isack Hadjar a perdu la t&ecirc;te du championnat de Formule 2.
En Freca en Autriche, Th&eacute;ophile Na&euml;l a conquis sa premi&egrave;re victoire de haute lutte dans l'unique &eacute;claircie du week-end.
Evan Giltaire a renou&eacute; avec le podium sur un Red Bull Ring d&eacute;tremp&eacute;, en devan&ccedil;ant Alessandro Giusti.
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FORMULE 2
Isack ronge son frein
Deux semaines apr&egrave;s avoir vu sa dynamique s'infl&eacute;chir avec deux arriv&eacute;es hors des points &agrave; Monza, Isack Hadjar a vu un nouvel incident briser son &eacute;lan en t&ecirc;te du championnat de Formule 2. &Agrave; Bakou, ses freins se sont gripp&eacute;s et ont emp&ecirc;ch&eacute; le Fran&ccedil;ais de participer &agrave; la derni&egrave;re salve de tours rapides des qualifications. Pire, ayant provoqu&eacute; la sortie des drapeaux rouges, il a subi une p&eacute;nalit&eacute; qui l'a rejet&eacute; &agrave; la 20e place de la grille de d&eacute;part des deux courses az&eacute;ries.
&laquo; C'est un circuit en ville et o&ugrave; il y a souvent des rebondissements, mais il faut &ecirc;tre r&eacute;aliste, remonter dans les points sera tr&egrave;s compliqu&eacute; &raquo; proph&eacute;tisait Isack avant le d&eacute;part des deux courses. En lutte pour la pole position, Victor Martins a sign&eacute; un 3e chrono de bon augure pour les deux courses de Bakou. &laquo; La confiance revient depuis plusieurs week-ends car je peux me battre pour la pole position. Et la confiance est tr&egrave;s importante &agrave; Bakou o&ugrave; il faut se rapprocher des rails pour trouver la limite &raquo; explique le pilote Alpine Academy. &laquo; Je n'ai pas tout optimis&eacute; avec mon second train de pneus et il y avait donc un peu de frustration, mais la 3e place des qualifications est un excellent point de d&eacute;part pour les deux courses, surtout ici o&ugrave; l'on peut d&eacute;passer &raquo;
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Dans la premi&egrave;re course, Isack a gagn&eacute; des places essentiellement dans le premier tour avant d'entrer dans un peloton d'aspiration et a pris la 12e place finale tandis que Victor est remont&eacute; de la 8e &agrave; la 4e, &agrave; 20 milli&egrave;mes de seconde du podium.
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Victor encha&icirc;ne les podiums
La course principale n'a pas apport&eacute; plus de r&eacute;confort &agrave; Isack, revenu de la 20e &agrave; la 14e position, sans point et en ayant perdu le commandement au championnat, &agrave; 4,5 points du leader.
Et de 5 ! Avec sa 2e place de Bakou, qui fait suite &agrave; celle de Monza, Victor confirme son retour aux avant-postes de la Formule 2. La victoire &eacute;tait pourtant &agrave; la port&eacute;e du Fran&ccedil;ais qui avait pris le commandement gr&acirc;ce &agrave; deux d&eacute;passements d'&eacute;cole.
Mais un pit stop trop long l'a r&eacute;trograd&eacute; &agrave; la 4e position et Victor a d&ucirc; cravacher pour retrouver sa place sur le podium. L'&eacute;preuve ayant &eacute;t&eacute; &eacute;court&eacute;e &agrave; la suite d'un gros accident au d&eacute;part, mais &eacute;galement en toute fin de course, il n'a pas eu l'opportunit&eacute; de r&eacute;cup&eacute;rer le succ&egrave;s qui lui tendait les bras. &laquo; L'&eacute;quipe a toujours &eacute;t&eacute; parmi les plus rapides pour les pit stops et je ne vais pas lui en vouloir pour celui-ci &raquo; salue le Fran&ccedil;ais, &laquo; Jusque-l&agrave;, j'avais pu attaquer sans aller au-del&agrave; de la limite des pneus. En sortant des stands je me suis dit qu'il fallait que je fasse aussi bien que pendant le premier relais, malheureusement la course a &eacute;t&eacute; tronqu&eacute;e par une voiture de s&eacute;curit&eacute;. Globalement le rythme et la constance qu'on a eus &agrave; Bakou sont tr&egrave;s b&eacute;n&eacute;fiques pour b&acirc;tir de la confiance en vue des derni&egrave;res courses &raquo;.
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CHAMPIONNAT D'EUROPE DE FORMULE R&Eacute;GIONALE PAR ALPINE
Feu d'artifice sous la pluie
Une semaine apr&egrave;s les fortes chaleurs d'Imola, le Championnat d'Europe de Formule R&eacute;gionale par Alpine ne pouvait pas apporter un contraste plus saisissant aux quatre pilotes de l'&Eacute;quipe de France FFSA Circuit. Avec une m&eacute;t&eacute;o implacable et la perspective de temp&eacute;ratures hivernales, il &eacute;tait plus difficile que d'habitude de se frayer un chemin jusqu'au sommet de la hi&eacute;rarchie, mais ils y sont tous parvenus avec brio.
Dans la foul&eacute;e d'Imola o&ugrave; il avait sign&eacute; sa meilleure qualification de l'ann&eacute;e, Sandro a r&eacute;it&eacute;r&eacute; avec une 2e place sur la grille de la premi&egrave;re course. Il a maintenu le leader sous pression, mais a d&ucirc; c&eacute;der &agrave; celle de ses pneus. Revenu du diable Vauvert avec des d&eacute;passements lumineux, Evan Giltaire s'est empar&eacute; de la 2e place, trois crans devant Enzo Peugeot qui s'est propuls&eacute; de la 13e &agrave; la 5e position, sa meilleure de la saison. Th&eacute;ophile Na&euml;l a un temps occup&eacute; la 3e place avant de se faire pi&eacute;ger par un train avant trop froid lors d'une relance apr&egrave;s neutralisation.
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Th&eacute;o rime avec cocorico
Th&eacute;o s'est remis en selle le lendemain avec sa meilleure qualification &agrave; ce jour (3e) qu'il a transform&eacute;e en victoire gr&acirc;ce &agrave; un d&eacute;part id&eacute;al qui lui a permis de virer en t&ecirc;te. Le plus dur restait &agrave; faire en Autriche o&ugrave; les d&eacute;passements sont multiples, mais Th&eacute;o n'a jamais trembl&eacute; malgr&eacute; les tentatives r&eacute;p&eacute;t&eacute;es de ses rivaux.
Sandro et Evan auraient pu &ecirc;tre des adversaires coriaces pour Th&eacute;o, s'ils n'avaient pas &eacute;t&eacute; victimes de la pr&eacute;cipitation d'autres concurrents. Percut&eacute;, Sandro a mis pied &agrave; terre alors qu'il occupait la 6e place. Evan, 14e sur la grille et sur le point d'entrer dans le top 6, a &eacute;t&eacute; pouss&eacute; dans les graviers et a vu l'arriv&eacute;e en 12e position, deux places devant Enzo pourtant parti dernier et pass&eacute; par les stands pour changer son aileron avant bris&eacute; dans le tumulte du d&eacute;part.
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Le d&eacute;brief des pilotes
Sandro Giusti
&laquo; Sans une petite erreur en Q1, la pole position &eacute;tait &agrave; nous. En course, nous n'avions pas la meilleure pression de pneus et la d&eacute;gradation &eacute;tait assez forte sur la fin. Le lendemain, on aurait pu gagner la course car j'&eacute;tais rapide et l'auto &eacute;tait tr&egrave;s efficace. Perdre une si belle opportunit&eacute; sur une erreur grossi&egrave;re d'un concurrent est frustrant, mais on n'a rien &agrave; se reprocher et on tentera de nouveau de viser la pole position et la victoire &agrave; Barcelone &raquo;.
Th&eacute;ophile Na&euml;l
&laquo; C'&eacute;tait un week-end fou entre la pluie, le froid, les rebondissements et &ccedil;a rend ma premi&egrave;re victoire encore plus savoureuse ! En Q1, j'ai un peu manqu&eacute; de rep&egrave;res, surtout que j'&eacute;tais le premier en piste et qu'elle &eacute;tait s&egrave;che pour une fois. En course, on aurait d&ucirc; ramener de gros points, mais je suis parti dans les graviers avec des freins et des pneus trop froids apr&egrave;s une neutralisation. La Q2 &eacute;tait excellente et apr&egrave;s un super d&eacute;part, se retrouver en t&ecirc;te est excitant mais il est impossible de creuser un &eacute;cart pour se mettre &agrave; l'abri ! J'ai donc g&eacute;r&eacute; les push-to-pass, les attaques incessantes et les pneus pour aller chercher la victoire. On monte en puissance, il faut continuer ainsi et bien se pr&eacute;parer pour Barcelone &raquo;.
Enzo Peugeot
&laquo; Dimanche, j'ai perdu l'auto en passant sur de la gomme en Q2. Bien que partant dernier, j'ai fait une bonne remont&eacute;e et engrang&eacute; de l'exp&eacute;rience. Dans la Q1, on d&eacute;couvrait le circuit sur le sec et j'aurais pu attaquer un peu plus sur la fin. Mais le manque d'aspiration n'a pas aid&eacute;. La premi&egrave;re course &eacute;tait fantastique, j'ai d&eacute;pass&eacute; beaucoup de voitures, sans en faire trop et la patience a pay&eacute;. Il faut continuer avec cet &eacute;tat d'esprit et que toutes les plan&egrave;tes s'alignent car dans un championnat aussi rude, le moindre faux pas se paie cher &raquo;.
Evan Giltaire
&laquo; Le mot &agrave; retenir du week-end, c'est 'positif' ! On a gagn&eacute; du terrain en termes de performance, que ce soit sur la voiture ou mon pilotage. La premi&egrave;re course &eacute;tait g&eacute;niale avec un set-up parfait, une bonne gestion des pneus et une belle remont&eacute;e. La seconde a bien d&eacute;but&eacute;, j'ai gagn&eacute; 5 places en 1 tour et puis Clerot m'a pouss&eacute; dans les graviers alors que je l'avais d&eacute;pass&eacute;&hellip; C'est frustrant car un top 5 &eacute;tait envisageable. J'ai bien progress&eacute; depuis quelques semaines et c'est tr&egrave;s important pour terminer la saison en beaut&eacute; et pour pr&eacute;parer l'ann&eacute;e prochaine &raquo;.

En Azerbaïdjan, Victor a flirté avec la victoire, que Naël a épinglée à son palmarès de Freca en Autriche.

Martins s’offre un nouveau podium en F2, Naël sa première victoire en FRECA

Le Championnat de France F4 op&eacute;r&eacute; par la FFSA Academy n&rsquo;en finit pas de vivre des retournements de situation et des moments intenses. Trois talentueux pilotes, qui comptent chacun quatre victoires &agrave; leur tableau de chasse, continuent de faire la course en t&ecirc;te. Tout se jouera sur le circuit Paul Ricard du 4 au 6 octobre entre le Belge Yani Stevenheydens (252 points), le Japonais Taito Kato (246 points) et le Fran&ccedil;ais Jules Caranta (235 points). Outre Kato, l&rsquo;&eacute;preuve de Dijon a &eacute;galement confirm&eacute; la mont&eacute;e en puissance de l&rsquo;Allemand Montego Maassen, qui a termin&eacute; 3e en Course 3 apr&egrave;s avoir d&eacute;croch&eacute; une 2e place le samedi.
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Taito Kato a ma&icirc;tris&eacute; la situation en Course 3
Auteur d&rsquo;une double pole position le vendredi, Taito Kato avait l&rsquo;avantage de partir &agrave; nouveau en pole position et en a profit&eacute; pour virer en t&ecirc;te au premier virage face &agrave; Yani Stevenheydens. Habitu&eacute; aux excellents d&eacute;parts, l&rsquo;Andorran Frank Porte Ruiz justifiait sa r&eacute;putation en passant de la 7e &agrave; la 3e position d&egrave;s le premier tour. Au contraire, Jules Caranta se faisait enfermer et chutait 6e derri&egrave;re Augustin Bernier et Montego Maassen. Alors qu&rsquo;il avait gagn&eacute; plusieurs places gr&acirc;ce &agrave; un excellent d&eacute;part, le Britannique Gabriel Doyle-Parfait &eacute;tait victime d&rsquo;une sortie de piste, apr&egrave;s un duel au c&oelig;ur du peloton. La voiture de s&eacute;curit&eacute; entrait en piste, annulant les &eacute;carts que certains pilotes avaient r&eacute;ussi &agrave; se cr&eacute;er.
Au drapeau vert, Stevenheydens tentait une man&oelig;uvre de d&eacute;passement sur Kato, mais le leader tenait bon et reprenait sa marche en avant, assortie du meilleur tour en course. Derri&egrave;re le Japonais et le Belge qui finissaient dans cet ordre, Maassen acc&eacute;dait au podium gr&acirc;ce &agrave; un d&eacute;passement sur Porte Ruiz. Bernier, qui avait c&eacute;d&eacute; &agrave; Caranta apr&egrave;s la relance, r&eacute;cup&eacute;rait la 5e place &agrave; deux tours de l&rsquo;arriv&eacute;e. Parti 11e et remont&eacute; 7e, le Luxembourgeois Chester Kieffer conserve sa 4e place au Championnat face au combatif Rayan Caretti. Le Fran&ccedil;ais licenci&eacute; en Tha&iuml;lande n&rsquo;a pas m&eacute;nag&eacute; ses efforts pour gagner 5 places en 8e position. Enzo Caldaras a fini un meeting difficile sur une note positive avec un retour en 9e position devant Dylan Estre. Ce dernier a encore r&eacute;ussi un brillant d&eacute;but de course, avant de r&eacute;trograder en raison d&rsquo;une usure de pneumatiques prononc&eacute;e. Apr&egrave;s un premier tour difficile, Jules Roussel a &eacute;chou&eacute; &agrave; la porte des points en 11e position devant Arthur Dorison.
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&gt; Classement de la Course 3
1 Taito Kato (Japon) avec 15 tours
2 Yani Stevenheydens (Belgique) &agrave; 4.401
3 Montego Maassen (Allemagne) &agrave; 5.262
4 Frank Porte Ruiz (Andorre) &agrave; 7.461
5 Augustin Bernier (France) &agrave; 8.964
6 Jules Caranta (France) &agrave; 10.065
7 Chester Kieffer (Luxembourg) &agrave; 10.266
8 Rayan Caretti (Tha&iuml;lande) &agrave; 10.638
9 Enzo Caldaras (France) &agrave; 12.903
10 Dylan Estre (France) &agrave; 15.770
11 Jules Roussel (France) &agrave; 15.961
12 Arthur Dorison (France) &agrave; 16.487
13 Alex O&rsquo;Grady (Irlande) &agrave; 17.036
14 Edouard Borgna (France) &agrave; 17.416
15 Tom Le Brech (France) &agrave; 17.626
16 Alexandre Munoz (France) &agrave; 18.763
17 Mathilda Paatz (Allemagne) &agrave; 19.679
18 Karel Schulz (France) &agrave; 20.198
19 Leonardo Megna (Italie) &agrave; 23.080
20 Jason Leung (Canada) &agrave; 23.479
21 Pablo Riccobono Bello (France) &agrave; 32.274
22 Lisa Billard (France) avec 13 tours
23 Louis Schlesser (France) &agrave; 13 tours
24 Rom&eacute;o Leurs (France) avec 4 tours
25 Gabriel Doyle-Parfait (Grande-Bretagne) avec 3 tours
26 Paul Roques (France) avec 3 tours
MT: Kato en 1:17.453 (moy. 176,6 km/h)
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&gt; Classement du Championnat apr&egrave;s Magny-Cours
1 Stevenheydens 252 pts, 2 Kato 246 pts, 3 Caranta 235 pts, 4 Kieffer 116 pts, 5 Caretti 109 pts, 6 Porte Ruiz 99 pts, 7 Bernier 92 pts, 8 Maassen 60 pts, 9 Roussel 58 pts, 10 Megna 48 pts, 11 O&rsquo;Grady 44 pts, 12 Estre 40 pts, 13 Caldaras 35 pts, 14 Leung 33 pts, 15 Dorison 21 pts, 16 Schulz 20 pts, 17 Doyle-Parfait 19 pts, 18 Munoz 3 pts, 19 Borgna 1 pt.
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&gt; Septi&egrave;me et derni&egrave;re &eacute;preuve du 4 au 6 octobre sur le circuit Paul Ricard au Castellet (83)

Déjà vainqueur en Course 1, Taito Kato a effectué une bonne affaire lors de l’avant-dernier round du Championnat de France F4 en s’imposant en Course 3. Le Japonais a pris le meilleur sur Jules Caranta et revient à 6 points du leader Yani Stevenheydens.

F4 Academy : Kato gagne encore à Dijon et se replace avant le final

Championnats de France FFSA - Dijon

​En ce week-end des 13, 14 et 15 septembre, le Circuit de Dijon-Prenois accueille le cinqui&egrave;me et avant-dernier rendez-vous de l'ann&eacute;e. Le rapide et l&eacute;gendaire circuit bourguignon accueillera cinq s&eacute;ries de grande qualit&eacute; pour proposer un superbe programme.
Dijon-Prenois. Un nom qui r&eacute;sonne comme une &eacute;vidence pour tous les passionn&eacute;s de sport automobile. Un trac&eacute; l&eacute;gendaire depuis plus de 50 ans et qui est notamment rest&eacute; c&eacute;l&egrave;bre pour avoir accueilli sept Grand Prix de Formule 1 entre 1974 et 1984 : cinq Grand Prix de France et deux Grand Prix de Suisse.
Le Championnat de France FFSA GT sera en t&ecirc;te d'affiche, mais on retrouve aussi au programme le Championnat de France F4, le Championnat de France FFSA Tourisme, le Troph&eacute;e Mitjet France et la Porsche Carrera Cup France. Sur un circuit de 3.801 m&egrave;tres reconnu pour son c&ocirc;t&eacute; &agrave; la fois rapide et vallonn&eacute;, les 15 courses pr&eacute;vues entre samedi 9h45 et dimanche 16h seront autant de temps forts de ce week-end en C&ocirc;te-d'Or. Pour 10 euros seulement, acc&egrave;s au paddock compris, les spectateurs vont pouvoir se r&eacute;galer !
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Championnat de France FFSA GT : premi&egrave;res balles de match
&Agrave; l'heure d'aborder les deux derniers rendez-vous de la saison, la course aux titres est forc&eacute;ment dans toutes les t&ecirc;tes en Championnat de France FFSA GT. Pour bien la comprendre, un exercice de calcul s'impose. Avec 25 points pour une victoire et un point bonus par pole position, il restera 52 points &agrave; attribuer sur le Circuit Paul Ricard d&eacute;but octobre. Tout &eacute;quipage qui quitterait Dijon avec un avantage plus important serait donc d&eacute;j&agrave; champion avant la finale dans le Var.
Comptant 44 points d'avance, Ga&euml;l Castelli et Rodolphe Wallgren (Audi R8 LMS GT4 &ndash; CSA Racing) ont donc devant eux une v&eacute;ritable balle de match en Pro-Am. Les deux hommes devront toutefois marquer plus de points que leurs rivaux directs Pascal Huteau et Gaspard Simon (Alpine A110 GT4 EVO &ndash; Schumacher CLRT), qui leur avaient repris 6 points &agrave; Magny-Cours. Pour les autres, aucune strat&eacute;gie n'est requise. Avec chacun 58 longueurs de retard, les duos Noam Abramczyk-Thomas Laurent (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport &ndash; AV Racing) et &Eacute;ric Tr&eacute;moulet-Olivier Jouffret (Mercedes-AMG GT4 &ndash; Vic'Team) savent que les chances de coiffer la couronne sont tr&egrave;s limit&eacute;es.
En Silver Cup, Victor Weyrich et Matteo Villagomez (Aston Martin Vantage AMR GT4 EVO &ndash; Racing Spirit of L&eacute;man) ont 38 points d'avance sur leur plus proche rival. En cas de double victoire &agrave; Dijon-Prenois, ils pourraient tuer tout suspense avant la finale sur le Circuit Paul Ricard. Mateo Herrero (Alpine A110 GT4 EVO &ndash; Chazel Technologie Course) n'a donc pas le choix ! Avec son &eacute;quipier Tom Verdier, arriv&eacute; en cours de saison, le Girondin doit absolument gagner.
C'est dans la Am Cup que les leaders ont la plus petite avance. Certes, Matteo Salomone et Rudy Servol (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport &ndash; AV Racing) sont en t&ecirc;te depuis le d&eacute;but de la saison, mais avec trois victoires cons&eacute;cutives St&eacute;phane Auriacombe et St&eacute;phane L&eacute;meret (Alpine A110 GT4 EVO &ndash; CMR) sont revenus &agrave; 21 points seulement. Alors que quatre courses restent &agrave; disputer, tous les sc&eacute;narios sont donc envisageables. Troisi&egrave;mes du classement provisoire, Gr&eacute;gory Curson Faessel et Florian Teillais (BMW M4 GT4 &ndash; VSF Sports Amplitude automobiles) ont 33 points de retard et sont donc eux aussi encore en lice dans la course au titre.
Les deux courses de 60 minutes seront &eacute;videmment &agrave; suivre sur la chaine YouTube GTWorld. Les heures de d&eacute;part ? Samedi &agrave; 14h45 et dimanche &agrave; 14h20 !
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Championnat de France FFSA F4 : trois pour un titre !
Les week-ends se suivent pour le Championnat de France FFSA F4, mais rien ne permet de d&eacute;partager d&eacute;finitivement les candidats au titre. Au moment d'aborder les deux derniers rendez-vous, &agrave; Dijon-Prenois puis sur le Circuit Paul Ricard, ils sont trois &agrave; pouvoir raisonnablement r&ecirc;ver d'une couronne qui pourrait changer le cours de leur carri&egrave;re.
&Agrave; six courses de la fin, 24 points s&eacute;parent le Belge Yani Stevenheydens (216), le Fran&ccedil;ais Jules Caranta (207) et le Japonais Taito Kato (192). Ces trois-l&agrave; ont clairement creus&eacute; l'&eacute;cart au championnat et la fin de saison promet d'&ecirc;tre passionnante avec quelques arbitres de choix comme le Luxembourgeois Chester Kieffer, le Tha&iuml;landais Rayan Caretti, le Fran&ccedil;ais Augustin Bernier ou l'Andorran Frank Porte Ruiz, autant de pilotes ayant jou&eacute; plus d'une fois les avant-postes depuis le d&eacute;but de cette saison. Les trois courses auront lieu samedi &agrave; 9h45 et &agrave; 16h10 puis dimanche &agrave; 9h50.
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Championnat de France FFSA Tourisme : premiers titres en vue ?
Le suspense reste entier en Championnat de France FFSA Tourisme. Julien Paget (Cupra L&eacute;on Comp&eacute;ticion TCR &ndash; Optimum Racing-ASM) a profit&eacute; du meeting de Magny-Cours pour reprendre le dessus sur Sylvain Pussier (Cupra L&eacute;on VZ TCR &ndash; SP Comp&eacute;tition), qui se doit de contre-attaquer &agrave; Dijon-Prenois. Ce duel pourrait bien nous tenir en haleine jusqu'&agrave; la fin de l'ann&eacute;e ! Attention toutefois &agrave; S&eacute;bastien Thome (Audi RS 3 LMS TCR &ndash; Team Clairet Sport), qui est celui qui a marqu&eacute; le plus de points dans la Ni&egrave;vre en allant chercher deux victoires en quatre courses.
Avec un maximum de 100 points encore &agrave; attribuer et un avantage de 60 unit&eacute;s, Viny Beltramelli (Peugeot 308 RC &ndash; Team Pilote 69 by 2RT) est clairement en route vers le titre dans la cat&eacute;gorie TC. Pour les places d'honneur, Rapha&euml;l Fournier (Peugeot 308 RC &ndash; JSB Comp&eacute;tition) est actuellement le mieux plac&eacute; devant Brady Beltramelli (Peugeot 308 RC &ndash; Team Pilote 69 by 2RT).
Souffrant quelques jours avant le meeting de Magny-Cours, Ethan Gialdini (Ginetta G56 GTA &ndash; Styl&amp;Grip) a plus que limit&eacute; les d&eacute;g&acirc;ts au championnat. &Agrave; Dijon, l'Al&eacute;sien de 17 ans voudra retrouver les sommets, mais il devra contenir son rival Thibaut Mogica (Ginetta G56 GTA &ndash; Tierce Racing). Derri&egrave;re ces favoris, les jeunes Alexandre Monnot (Tierce Racing) et Mehdi Bouarfa (Styl&amp;Grip) se rapprochent sans cesse, tout comme le Suisse Xavier Canonica (Styl&amp;Grip).
Nicco Ferrarin (Ligier JS2 R &ndash; AGS Events) pourra-t-il signer l'impossible exploit en GT Light ? Absent des Coupes de P&acirc;ques, il a d&eacute;but&eacute; la saison avec un lourd handicap&hellip; qu'il n'a fait que r&eacute;duire depuis ! Apr&egrave;s un week-end parfait &agrave; Magny-Cours, il est revenu &agrave; 18 points du leader David Chiche (Ligier JS2 R &ndash; Team CDRS) alors qu'il en reste 100 &agrave; attribuer. Un peu en retrait, David Levy voudrait retrouver la plus haute marche du podium avec la Ginetta G55 Cup de l'&eacute;quipe STR, de nouveau partag&eacute;e avec Guillaume Rousseau.
Solide leader, Frank Labescat (Peugeot RCZ RC &ndash; Team CDRS) pourrait d&eacute;j&agrave; coiffer la couronne en TCA ce dimanche soir s'il fait passer son avance de 28 &agrave; 50 points. Derri&egrave;re lui, les concurrents de la Coupe TCA-2 se battront entre eux avec la suite du duel entre Quentin Prudent (Mini R56 MCS-R &ndash; ADWShop Motorsport) et son &eacute;quipier Micka&euml;l Boisdur (ADWShop Motorsport), bien revenu dans le match apr&egrave;s l'&eacute;preuve nivernaise.
Actuellement deuxi&egrave;me de la classe TCA Light qui regroupe les Peugeot 208 RC, Karel Eyoum (JFM Racing) sait que ce cinqui&egrave;me et avant-dernier rendez-vous sera capital pour enrayer la marche en avant du leader. Intraitable &agrave; Magny-Cours, Colin Boreau (Boreau Team Sport by JSB) pourrait en effet creuser un &eacute;cart d&eacute;cisif dans cette cat&eacute;gorie toujours tr&egrave;s disput&eacute;e. Parmi la douzaine de pilotes engag&eacute;s, L&eacute;o Berson (JSB Comp&eacute;tition), Arthur Salvi (JFM Racing), Vincent Vevres (First Racing) et Tom Pussier (SP Comp&eacute;tition) ont tous prouv&eacute; qu'ils pouvaient revendiquer une place sur l'un des podiums.
Comme c'est le cas lors des six &eacute;preuves de la saison, quatre courses de 25 minutes sont au programme pour le Championnat de France FFSA Tourisme avec deux confrontations samedi (13h05 et 17h55) et deux dimanche (9h25 et 13h50). Les quatre courses seront &eacute;videmment &agrave; suivre sur la cha&icirc;ne YouTube GTWorld. Avec une quarantaine de voitures en piste sur ce trac&eacute; de 3.801 m&egrave;tres, le spectacle est garanti !
Outre ces trois Championnats de France, le Troph&eacute;e Mitjet France (pr&eacute;sent sur cinq des six rendez-vous du Championnat de France FFSA Circuits) et la Porsche Carrera Cup France seront aussi de la partie &agrave; Dijon-Prenois.

La saison 2024 du Championnat de France FFSA Circuit est clairement entrée dans sa dernière ligne droite.

FAESSEL CURSON GREGORY

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